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Lieu de travail sympathique ou de rencontre? [FIN]

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Sam 12 Déc - 15:38

Lieu de travail
sympathique
ou
de rencontre?


Abigaïl Talin | Sousuke Jirawa




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Abi’ avait fini de parler et le regardait doucement, elle le vit retourner à sa place, peut-être avait-elle répondu quelque chose qui ne lui avait pas plu. Elle n’eut pas le temps de chercher plus loin, car le jeune homme commença à parler, il dit qu’elle n’avait rien à se reprocher et qu’il ne lui en voulait pas. Mais que si elle avait un problème avec les prétendants ou pour n’importe quel raison, il voulait qu’elle l’appelle ou qu’elle aille le trouver chez lui. En parlant, il avait écrit quelque chose sur un bout de papier et le tendait à la jeune femme. Il ajouta ensuite qu’il aimerait qu’elle change d’avis, mais, qu’en tant que partenaires, il respectait ses choix. Il demanda aussi qu’elle accepte sa requête.

Tout ceci fit sourire la jeune fille et sa queue remua bien plus, elle referma ses deux mains sur le papier et la main du jeune homme avec un sourire attendri. Elle espérait que ce contact ne le gêne pas, elle le trouvait adorable et vraiment très gentil, elle n’avait pas l’habitude qu’on soit gentil avec elle, enfin si, mais, les gens étaient toujours intéresser. Elle savait au fond d’elle que Sousuke n’était pas ce genre de personne même s’ils ne se connaissaient pas encore très bien. Elle continuait de tenir les mains du jeune homme dans les siennes qui était chaud.

- Merci, vous êtes vraiment quelqu’un de gentil. Je vous trouve adorable, je vous promets de venir ou de vous appeler aux moindres soucis.

Elle souriant toute contente et avec ça elle oubliait de le lâcher, elle avait eu beaucoup de chance d’avoir un partenaire comme lui. Elle en était vraiment heureuse en pensant qu’elle aurait pu tomber sur pire, se rendant compte qu’elle lui tenait la main elle la lâcha en  gardant que le bout de papier dans la sienne et sourit.

- Désolé, je me suis un peu laissé emporter.

Elle sourit et mit une main derrière sa tête en rigolant d’un air légèrement embêté, ensuite, elle glissa le bout de papier dans sa poche et pris de son autre poche son carnet, elle y griffonna son adresse et son numéro de portable, elle arracha le bout de papier et le lui tendit doucement à Sousuke.

- Je vais devoir fermer le magasin quelques jours pour m’occuper d’eux. Pour ne pas qu’il s’installe n’ importe où, surtout pas dans ma chambre. Alors je te donne mes coordonnées aussi, sait-on jamais.

Tout en lui tendant le papier, elle sourit en remuant la queue.
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Dim 13 Déc - 22:53

Lieu de travail ou de rencontre ?

Q
uand elle prit le papier que je lui tendais, Abigaïl me serra également la main. Bien que sa main soit fine, douce et chaude, ce contact ne me fut pas agréable. Alors que j'avais prié et tenté de freiner sa venue, mon pouvoir s'activa pour me monter le passé de la jeune femme. Ma vision fut assez floue, surtout peuplée de tourbillons multicolores qui dansaient au rythme de musiques différentes. Entre chaque tourbillon, je vis des visages plus ou moins plaisants, des visages aimés, d'autres détestés... et une hybride chat, Abigaïl, qui grandissait petit à petit. Quand elle lâcha ma main je ne réagis pas tout de suite, mon esprit trop perdu pour réfléchir et écouter ce qu'elle disait en même temps :

- Désolé, je me suis un peu laissé emporter. Je vais devoir fermer le magasin quelques jours pour m’occuper d’eux. Pour ne pas qu’il s’installe n’ importe où, surtout pas dans ma chambre. Alors je te donne mes coordonnées aussi, sait-on jamais.

Comme si je marchais au ralenti par rapport à elle, je la vis écrire ses propres coordonnées sur un morceau de papier qu'elle déchira avant de me le tendre. Bien que j'aurais voulu cacher mon trouble en prenant le papier et en la remerciant, je ne le put. J'avais beaucoup trop de difficultés à comprendre ma vision, sa vie. Pourquoi avais-je vu autant de visages? Que représentaient ces tourbillons pleins de couleurs pendant qu'une musique était jouée? Quel était le lien?

Sentant mon esprit se perdre, je m'assis sur ma chaise et me pris le visage dans une main, l'autre accoudée au dossier. Il fallait que je me reprenne. J'étais certain qu'elle se posait des questions, et certainement allait-elle les formuler à voix haute. Mais je ne savais pas si j'étais capable de lui répondre. Après tout, je n'étais même pas certain que ce sentiment de confusion était le mien. Il était possible qu'elle ait voulu ouvrir son café pour mettre de la distance entre ce que j'avais vu et elle. Mais je n'étais pas prêt de le jurer. Il y avait trop de variables...

Après avoir repris un semblant de sang froid, je levai les yeux vers elle avant de les baisser sans attendre. Je pris une profonde inspiration et je lui fis, le regard fuyant :

- Désolé... Je ne voulais pas, mais j'ai vu une partie de ton passé. J'ai du mal à le comprendre et à m'en remettre.

J'eus une hésitation qui ne dura pas plus d'une minute avant que je n'ajoute :

- Pour être tout à fait honnête avec toi, je suis totalement confus et cette confusion... je ne sais pas si elle vient de toi ou de moi.

J'attendis sa réaction et ses éventuelles questions. J'avais peut-être omis un détail important, mais elle allait certainement me le demander. Et, dans le pire (ou meilleur) des cas, j'avais tout le temps de lui en parler. Après tout, elle était ma précieuse partenaire. Partenaire que je n'osais pas regarder en face tant j'avais honte d'avoir vu son passé.


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Dim 13 Déc - 23:37

Lieu de travail
sympathique
ou
de rencontre?


Abigaïl Talin | Sousuke Jirawa




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Quand la jeune femme eut fini de parler elle remarqua que le jeune homme faisait une drôle de tête, avait-elle fait ou dit quelque chose de mal. Pourtant, elle lui avait juste touché la main, est-ce que cela voulait dire qu’il n’aimait pas qu’on le touche. En tout cas, elle essayerait de ne plus le faire. Elle le vit s’asseoir sur sa chaise et poser une main sur son visage, la jeune fille baissa les oreilles, elle pensait que c’était de sa faute, elle allait s’excuser mais il prit la parole et s’excusa, il ne voulait pas mais il avait vu une partie du passé de la jeune fille. Il avait du mal à comprendre et à s’en remettre. Elle n’eut pas le temps d’ajouter quelque chose qu’il reprit la parole. Il voulait être honnête avec Abi’ et il était confus, ne sachant pas si cette confusion venait de lui ou d’elle.

Elle remarqua qu’il ne voulait pas la regarder, il regardait sans cesse ailleurs, et cela, elle ne le comprenait pas aussi, elle lui tourna le dos et alla vers la porte d’entrer, elle retourna le carton et verrouilla la porte pour dire qu’il était fermé. Elle revient vers lui et s’assied sur une chaise en face de lui, ses oreilles n’étaient toujours pas redresser et sa queue ne flottait plus que dans l’air dans un petit mouvement. Elle finit par faire comme lui et regarder ailleurs, es oreilles coller à sa tête.

- Je suis désolé, j’ai l’impression que c’est de ma faute. Je n’aurais pas dû, vous touchez.

Elle continuait de regarder ailleurs, peut-être ne valait-il mieux pas qu’elle croise son regard, elle se sentait coupable qu’il se sent mal à cause d’elle. Elle poussa un long soupire et redressa la tête ainsi que ses oreilles et son regard se porta sur Sousuke.

- Pour ce qui est de mon passé, ce n’est pas grave si vous en avez vu une partie. Mon passé n’est pas très intéressant. Maintenant peut-être que si vous m’expliquiez ce que vous avez vu, je pourrais vous dire ce que je ressentais et ce que vous avez vu.

Son regard était encore un peu empreint de tristesse, mais elle voulait l’aider, elle se demandait en quoi consistait son pouvoir, mais elle ne le lui demanderait pas, car elle préférait attendre qu’il en parle de lui-même. Comme elle lui parlerais du sien le moment venu.

- Vous n’êtes pas obligé de m’expliquer pourquoi vous avez vu mon passé, mais dite moi ce que je dois faire pour ne plus que vous vous sentiez mal ainsi. Si c’est ce que je pense le déclencheur, je promets que je ne vous toucherais plus jamais.

Elle baissa encore les oreilles, il avait eu l’air vraiment mal tout à l’heure, elle avait cru qu’il allait tomber dans les pommes, elle s’en voulait beaucoup. Même si elle n’avait pas vraiment fait quelque chose de mal, elle voulait surtout éviter que cela se reproduise, elle ne voulait pas lui faire du mal, mais l’aider, il était son partenaire après tout.
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Lun 14 Déc - 11:46

Lieu de travail ou de rencontre ?

P
longé dans mes pensées, je ne vis pas la jeune femme aller fermer la porte et fermer son magasin. J'étais bien trop préoccupé par ce que je venais de voir pour avoir conscience de tout ce qui m'entourait. Du coup, je ne vis pas non plus que j'avais reçu des mails, que ma nouvelle amie s'était assise en face de moi et que je tremblais un peu.

- Je suis désolé, j’ai l’impression que c’est de ma faute. Je n’aurais pas dû, vous touchez.

Prenant à nouveau conscience que je n'étais plus seul, je levai les yeux vers elle au même moment qu'elle le faisait. Nous nous sentions tous deux coupables, mais j'avais l'impression que la faute me revenais. Si seulement j'étais dans la capacité de maîtriser correctement mon pouvoir, j'éviterais certainement ce genre d'ennuis...

- Pour ce qui est de mon passé, ce n’est pas grave si vous en avez vu une partie. Mon passé n’est pas très intéressant. Maintenant peut-être que si vous m’expliquiez ce que vous avez vu, je pourrais vous dire ce que je ressentais et ce que vous avez vu. Vous n’êtes pas obligé de m’expliquer pourquoi vous avez vu mon passé, mais dite moi ce que je dois faire pour ne plus que vous vous sentiez mal ainsi. Si c’est ce que je pense le déclencheur, je promets que je ne vous toucherais plus jamais.

Lentement, je rassemblai le courage nécessaire pour passer outre ma confusion et lui répondre d'une voix faiblarde derrière la neutralité générale :

-Vous ne pouviez pas savoir... Arrêtez de vous en vouloir. Et arrêter de me toucher ne servira pas forcément à quelque chose puisque même les objets peuvent me mettre dans des états similaires. Et comme c'est un pouvoir que j'ai du mal à maîtriser, on peut dire que je peux être comme ça n'importe quand.

Je pris une profonde inspiration. Je préférais ne pas parler de façon concrète de mon pouvoir et ses effets. J'étais bien trop curieux de savoir ce que j'avais vu, de la comprendre. Après avoir repris une profonde inspiration, je continuai :

- J'ai vu de multiples visages défiler entre plusieurs tourbillons colorés qui allaient au rythme de musiques différentes. Tout au long de cette vision, j'avais la sensation que tu grandissais. Tous ces visages me rendaient confus, les tourbillons, au début me faisaient peur, mais la peur a très rapidement fait place à un grand sentiment de solitude. Est-ce que ça te parle?


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Lun 14 Déc - 12:32

Lieu de travail
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Abigaïl Talin | Sousuke Jirawa




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Abi’ le regardait, il avait l’air de ne pas vouloir en parler, ce qu’elle pouvait comprendre, tous deux était un peu mal à l’aise et cela n’avait pas l’air de s’arranger. Après sa dernière demande de l’excuser, la jeune fille l’avait regardé et le jeune homme fit pareil, il lui dit qu’elle ne pouvait pas savoir et qu’elle devait arrêter de s’en vouloir. Le faite de ne plus le touchez ne servirait pas forcement a grand-chose vus qu’il avait cela avec les objets aussi. La neko trouva cela triste, cela devait être dur pour lui, en tout cas à partir de maintenant elle ferait de son mieux pour l’aider, enfin plutôt le soutenir et en parler avec lui s’il le désirait, elle ne pouvait pas faire de plus. Elle le vit prendre une grande inspiration et commença à lui expliquer ce qu’il avait vu. Elle l’écouta attentivement.

- J'ai vu de multiples visages défiler entre plusieurs tourbillons colorés qui allaient au rythme de musiques différentes. Tout au long de cette vision, j'avais la sensation que tu grandissais. Tous ces visages me rendaient confus, les tourbillons, au début me faisaient peur, mais la peur a très rapidement fait place à un grand sentiment de solitude. Est-ce que ça te parle ?

La jeune fille voyait très bien de quoi il parlait, elle avait vécu toute sa vie dans ce genre de chose, elle le regarda et lui sourit sa queue ondulant doucement.

- Oui, en fait, est-ce que je peux te tutoyer ?

Elle n’attendit pas la réponse avant de continuer, parlant doucement et essayant de ne pas trop montré à quel point la partie de sa vie qu’il avait vue lui était douloureuse, elle sourit donc joyeusement.

- Enfaite, vous avez vu les bals, banquets, fêtes que mes parents ont données. J’ai grandi la dedans, au début, je me sentais un peu confuse et perdue parce que je ne connaissais personne. Mais ensuite, j’ai grandi et malgré le fait que je sois entourée d’autan de gens, je me suis sentie seule. Les visages que vous avez vu son ceux des invités qui m’approche régulièrement, ils ne sont intéressés que par la fortune de mes parents et rien d’autre.

Elle se rappelait parfaitement de chaque bal, comme elle s’y était ennuyer, certaines filles se moquaient même d’elle ce qui n’arrangeait pas les choses. Elle soupira doucement avant de continuer, elle lui expliqua à présent les tourbillons de couleur.

- Les tourbillons de couleurs, c’est surement les robes de bal qu’on doit porter pendant ses fêtes, et on y danse souvent. Moi-même, je dois danser avec mes prétendants, je dois me mêler aux autres, discuter avec eux et essayer de m’en faire des amis.

Sa vie n’avait rien de réjouissante, c’était comme vivre dans une cage dorée, elle ne pourrait jamais vraiment être libre. Elle le savait au fond d’elle, parmi ses prétendants, il n’y en avait pas un qui lui donnait envie d’apprendre a le connaitre. Ils étaient tous si, hautain que cela exaspérait la jeune femme.
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Lun 14 Déc - 17:12

Lieu de travail ou de rencontre ?

A
près m'avoir demandé si elle pouvait me tutoyer, elle commença à m'expliquer ma vision :

- En fait, vous avez vu les bals, banquets, fêtes que mes parents ont données. J’ai grandi la dedans, au début, je me sentais un peu confuse et perdue parce que je ne connaissais personne. Mais ensuite, j’ai grandi et malgré le fait que je sois entourée d’autan de gens, je me suis sentie seule. Les visages que vous avez vu son ceux des invités qui m’approche régulièrement, ils ne sont intéressés que par la fortune de mes parents et rien d’autre. Les tourbillons de couleurs, c’est surement les robes de bal qu’on doit porter pendant ses fêtes, et on y danse souvent. Moi-même, je dois danser avec mes prétendants, je dois me mêler aux autres, discuter avec eux et essayer de m’en faire des amis.

Je comprenais mieux pourquoi je ressentais ces sentiments. Mais, une fois encore, il ne s'agissait pas des miens. C'était comme si j'étais une coquille vide remplie des émotions d'autrui et des sensations étranges des objets. Ce n'était pas plaisant, mais pouvoir faire la part des choses me permit de reprendre le contrôle de moi-même. Du coup, je me détendis doucement et je pus lui parler légèrement plus chaleureusement :

- Merci, de m'avoir aidé à faire la part des choses. Ça m'a beaucoup aidé.

Je pris le papier qu'elle m'avait tendu plus tôt et je lui répondis à sa question sur le même temps :

- Tu peux me tutoyer, ça ne me dérange pas. Après tout, nous sommes partenaires. En contrepartie, je ferais de même, ajoutai-je avec un clin d’œil complice. Du coup, c'est à cause de tous ces bals que tu as voulu ouvrir une boutique? Tu n'es pas obligée de me répondre si tu ne le veux pas, mais... j'aimerais mieux te connaître et te comprendre.

Je me sentis rougir suite à ces paroles. Je ne comprenais pas très bien pourquoi je réagissais de cette façon et je ne savais pas non plus ce que je ressentais à ce moment-là. J'étais persuadé que ce n'était pas de la honte, ni de la gêne. Mais alors, qu'est-ce que cela pouvait bien être?


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Mar 15 Déc - 15:05

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Abigaïl Talin | Sousuke Jirawa




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Abi’ vit Sousuke se défendre un peu et cela la rassurait. Il commença à lui parler de façon plus chaleureuse, et cela, la jeune femme le ressentait ce qui la fit sourire. Il répondit à sa question, elle pouvait le tutoyer, on était partenaire, il avait raison et il ferait de même. Cela lui faisait plaisir et son clin d’œil la fit sourire un peu plus encore. Il demanda si c’était à cause de tous ses bals qu’elle avait voulu ouvrir une boutique. Il dit qu’elle n’était pas obligée de lui répondre si elle ne le voulait pas, mais il aimerait mieux la connaitre et la comprendre. Cela lui faisait plaisir, elle avait envie de lui répondre cela n’était pas du tout indiscret. Mais Abi’ fut surprise de le voir rougir, pourquoi rougissait-il, elle ne le savait pas, mais ne poserait pas de question.

Elle sourit doucement remuant la queue gaiement avant de commencer à lui répondre. Elle parlait d’une façon aussi chaleureuse que celle du jeune homme.

- J’ai voulu ouvrir ma boutique parce que je pense que quand tout va mal, il suffit de manger un peu de gâteau ou quelque chose de sucrer pour retrouver un peu le moral. Les gens sourient beaucoup quand il mange des gâteaux.

Tout en parlant, on voyait qu’elle croyait en ce qu’elle disait et qu’elle avait l’air heureuse, c’était vraiment ce qu’elle pensait et voulait faire. Même si beaucoup de gens pensait que c’était surement stupide. En tout cas, elle voulait aussi apprendre à mieux connaitre Sousuke et à le comprendre, elle avait envie de l’aider pour éviter d’être confus à nouveau.

- Je sais que ça parait stupide. J’ai voulu faire des gâteaux pour voir le sourire des gens. C’est comme si j’arrivais à leur donner un peu de bonheur.

Elle sourit en sachant pertinemment que le jeune homme allait finir par croire qu’elle était folle, pourtant ce n’était pas le cas, loin de là. Elle avait des idées un peu loufoques ça s’était vrai, mais c’était un peu sa façon à elle de ne plus se sentir si seule peut-être. Elle était sûre qu’il allait la trouver étrange s’il ne la prenait pas pour une folle, mais elle s’en fichait un peu à vrai dire. Elle n’avait jamais vraiment dit à quelqu’un la raison pour laquelle, elle voulait ouvrir sa boutique, elle savait que les gens se moqueraient d’elle si elle le disait.
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Mar 15 Déc - 20:07

Lieu de travail ou de rencontre ?

S
on sourire fini par me faire oublier la malaise qui m'avait pris plus tôt. Silencieusement, écoutant dans un silence religieux ce qu'elle me disait, je remerciai pour la énième fois l'oracle pour m'avoir choisi une aussi charmante partenaire.

- J’ai voulu ouvrir ma boutique parce que je pense que quand tout va mal, il suffit de manger un peu de gâteau ou quelque chose de sucrer pour retrouver un peu le moral. Les gens sourient beaucoup quand il mange des gâteaux.

Ses yeux étaient illuminés par de la foi et de la joie. Elle était passionnée et elle croyait en ce qu'elle disait. Il était vrai que ses pâtisseries étaient visuellement très jolies. Et bien que la possibilité de me rendre totalement compte des émotions que je ressentais, je savais que j'avais apprécié, ne serait-ce qu'un peu, la charlotte aux fraises que j'avais goûtée plus tôt. J'espérais qu'un jour son souhait se réalise sur moi et que je puisse ressentir une grande joie à l'idée de manger ses gâteaux, tartes et autres. En attendant, je l'écoutai ajouter :

- Je sais que ça parait stupide. J’ai voulu faire des gâteaux pour voir le sourire des gens. C’est comme si j’arrivais à leur donner un peu de bonheur.

La regardant, je lui répondis avec autant de sincérité qu'il m'était possible de faire :

- Très franchement, Abigaïl, si un jour tu réussis à me faire sourire alors que je mange une de tes pâtisseries, sois certaine que tu as atteint ton objectif. J'ai du mal à me l'avouer, mais j'ai de grandes difficultés à savoir ce que je ressens, et donc à extérioriser mes émotions. C'est... je pense que c'est à cause de mon pouvoir.

Je pris un temps pour peser le pour et le contre, les bras appuyés sur mes genoux. Je ne savais pas si je pouvais, si j'étais capable, de lui raconter ce qu'il y avait à savoir sur mon pouvoir. Pour être franc, bien que je lui en eus beaucoup dit, je n'aimais pas vraiment parler de moi. En partie parce que je n'aimais pas dire que je ne me souvenais de rien avant mes douze ans. Pire, lui avoir avoué que j'avais du mal à ressentir mes propres émotions était plus que gênant!
Comme je n'arrivais pas à me décider, je lui fis une proposition :

- Tu sais, je ne suis pas certain que j'arriverais à te parler de moi par moi-même. Je te propose donc qu'on se pose chacun une question. Et même les prochaines fois que nous nous verrons, n'hésites surtout pas à me demander des choses sur moi. Je ne sais pas si je te répondrais à tout, mais c'est certainement le meilleur moyen pour toi de mieux me connaître.

Tout en disant cela, je levai la tête vers elle pour la regarder avec une légère honte mêlée à de la gêne que je ne ressentis même pas. Ce geste, je l'avais simplement fait instinctivement, comme si une partie discrète de mon cerveau avait fait en sorte que la jeune femme ne se sente pas mal à l'aise devant mon air froid et distant habituel.


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Jeu 17 Déc - 2:34

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Abigaïl Talin | Sousuke Jirawa




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Abi’ le regardait, se demandant comment il allait réagir à ce qu’elle avait dit, mais il ne réagit pas vraiment, il ne fit que la regarder en lui répondant. Il disait que si un jour, elle réussissait à le faire sourire alors qu’il mangeait une des pâtisseries, il dit qu’elle aurait été certaine d’avoir atteint son objectif. Il continua en disant qu’il avait du mal à se l’avouer, mais il avait des difficultés a savoir ce qu’il ressentait et a extérioriser par la même occasion, ses émotions, il pensait que cela était à cause de son pouvoir. Sousuke avait appuyé ses deux bras sur ses jambes et avait l’air de réfléchir, il finit par faire une proposition à la jeune neko. Il n’était pas sûr d’arriver à lui parler de lui et il lui proposait donc qu’il se pose chacun une question, et même à leur prochaine rencontre. Elle ne devait pas hésiter à lui demander des choses sur lui, il ne répondrait pas à tout, mais c’était le meilleur moyen pour eux d’apprendre à mieux se connaître.

Certes, son idée n’était pas mauvaise, mais, la jeune femme n’aimait pas poser des questions, elle préférait que la personne lui parle d’elle-même, qu’elle soit prête à lui parler. Sinon Abigaïl avait l’impression de forcer les gens, ce qu’elle ne voulait pas faire. Il avait levé la tête vers elle en parlant, dans ses yeux Abi’ avait eu l’impression de lire de la honte mêlée à de la gêne. Elle ne le comprenait pas vraiment, il avait eu l’air froid et distant au début de la journée et avait essayé de paraitre amical avec elle en apprenant qu’elle était sa partenaire. Mais pour la jeune fille même s’il se montrait froid et distant ce n’est pas pour ça qu’elle le laisserait ou qu’elle aurait peur de lui. Loin de là, après tout maintenant, ils étaient pour s’entre aider l’un l’autre.

- Pourquoi te forces-tu à être moins froid et moins distant ? Tu peux continuer, cela ne me fait pas peur et je ne partirais pas à cause de cela. Reste juste toi-même. Je t’accepterais tel que tu es, ne t’en fait pas.

Elle lui offrit son plus beau sourire sa queue ondulant de plus en plus de gauche à droite, tellement elle était contente. Elle avait parlé sincèrement et voulait vraiment qu’il se comporte normalement avec elle et tant pis s’il était froid, cela n’avait pas d’importance. Tant que lui se sentait bien en sa présence. Elle ne pouvait peut-être rien faire pour l’aider à trier ce qu’il ressentait vraiment des sentiments qu’il éprouvait en touchant des objets ou des personnes, mais, elle voulait qu’il soit le plus normal possible avec elle.

Sinon cela serait comme s’il jouait une comédie, et cela, elle avait donné toute sa vie avec ses prétendants, elle ne voulait pas que la seule personne avec qui elle devrait et avait envie de mieux connaitre, joue un rôle pour ne pas l’effrayer. Il lui en faudrait plus pour qu’elle s’éloigne de lui à cause de son air détaché. Elle savait aussi que peut-être jamais elle ne le ferait sourire avec une pâtisserie, mais cela n’était pas grave, il ne valait mieux pas y penser tout de suite.

- Pourquoi veux-tu que je change d’avis ? Je ne risque rien à rentrer chez moi, même si les prétendants sont là. Ils ne se risqueraient pas à me blesser. Peut-être qu’ils me taperont sur le système, mais ça, j’ai l’habitude de les supportés depuis qu'on est enfant.

Elle se mit a rire doucement, car c’est vrai que depuis lui enfance, les garçons avaient tendance à l'agacer assez vite, ils avaient peut-être passé leurs enfances ensembles, mais ils ne la connaissaient toujours pas.

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Jeu 17 Déc - 20:35

Lieu de travail ou de rencontre ?

J
e fus on ne peut plus surpris lorsqu'elle reprit la parole :

- Pourquoi te forces-tu à être moins froid et moins distant ? Tu peux continuer, cela ne me fait pas peur et je ne partirais pas à cause de cela. Reste juste toi-même. Je t’accepterais tel que tu es, ne t’en fait pas.

Sans que je m'en rende compte, mes joues prirent une nouvelle teinte de rouge. Dans le même temps, je détachai les yeux d'elle en me mordant ma joue de l'intérieur. Je ne savais pas qui j'étais, ce que j'étais... Je compris donc que je devais la traiter comme tous les autres. Mais je savais que ce serait très douloureux, même si elle disait le contraire. Je traitais le monde comme des étrangers. Je ne voulais pas, en réalité, tisser de lien à cause de la méconnaissance de mon passé. Accepterait-elle ce revirement soudain? Accepterait-elle la distance... que dis-je? Le fossé que j'allais créer?
En pensant à cela, je perdis mon sourire, mon expression se fit froide et dure. Certainement que mes yeux perdirent la lumière qu'elle avait allumée plus tôt. Oui... Si ses pâtisseries arrivaient un jour à me faire sourire, alors elle aurait réussis son but!

- Pourquoi veux-tu que je change d’avis ? Je ne risque rien à rentrer chez moi, même si les prétendants sont là. Ils ne se risqueraient pas à me blesser. Peut-être qu’ils me taperont sur le système, mais ça, j’ai l’habitude de les supportés depuis qu'on est enfant.

Je devais avouer que je n'y avais pas franchement réfléchis. Et comme je ne trouvais pas de réponse sensée, je lui répondis en la regardant d'un air aussi détaché que si je ne la connaissais pas, un reste de la première impression qu'elle m'avait donné persistant tout de même au fond de mon regard :

- A cause de ton passé. Je n'ai pas eu une bonne impression et je n'ai pas envie que des types comme ça soient avec ma partenaire. De plus, ce n'est pas normal de s'inviter de cette façon chez les autres.

Je me tus un instant, réfléchissant à comment je devais agir et ce qu'elle devait penser de moi à présent. Je ne savais pas trop quoi faire. En temps normal, la distance que je mettais entre les autres et moi ne me gênait pas. Mais, cette fois, c'était différent. Elle était différente...
Avec un air affligé sincère, je m'accoudai à la table pour appuyer mon front dans ma main. Puis, les yeux fermés et sur un ton qui n'était pas dans mes habitudes d'utiliser, je repris :

- Désolé... Abigaïl, tu dis que tu ne veux pas que je joue la comédie, mais la vérité c'est que je ne sais pas qui je suis. Même si ça fait douze ans que j'ai perdu la mémoire, je n'ai pas réussis à me reconstruire et je ne sais pas... Je ne sais pas comment considérer les autres. Et le fait que je ne saches pas faire la différence entre mes sentiments et ceux que je vois dans les passés ne m'aide pas...

Je pris une grande inspiration histoire de me calmer. Je ne savais pas quoi lui dire. Je ne savais pas trop quoi lui poser comme question. Pourtant, une seule subsistait dans mon esprit. J'avais peur de la poser. De ça, j'en étais certain, sinon je lui aurais demander sans autant hésiter.


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Jeu 17 Déc - 22:08

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Abigaïl Talin | Sousuke Jirawa




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Abi’ avait remarqué qu’après ses premières paroles, le jeune homme avait les joues encore un peu rouge, mais cela changea vraiment vite. Il perdit son sourire et elle comprit qu’il allait enfin se comporter avec elle comme il le faisait avec tout le monde, il avait un air froid et dure et ses yeux ne brillaient plus vraiment. Après qu’elle lui ait parlé, il la regardait comme si elle n’était qu’une étrangère qu’il ne la connaissait pas. La jeune femme ne cessa pas de sourire pour autant, toujours avec son air joyeux, mais lui parlait d’un air détaché. Il dit qu’à cause de son passé, il n’avait pas eu une bonne impression et il n’avait pas envie que des types comme ça soit avec la neko, ce qu’elle-même ne comprenait pas. Il dit que ce n’était pas normal la façon dont les prétendants s’étaient invités chez elle.

Cela n’étonnait pas Abi’ qu’ils aient fait cela, après tout depuis qu’elle était enfant, on lui répétait qu’une fois adulte, elle se marierait avec l’un d’eux. Il se tut, il avait l’air mal ou bien, c’était elle qui se faisait une idée. Il avait appuyé son coude sur la table et son front dans sa main, elle ne comprenait pas vraiment ce qu’il avait, on aurait dit qu’il ne savait plus quoi penser et montrer. Il s’excusa l’appela par son prénom en lui disant qu’elle ne voulait pas qu’il joue la comédie ce qui était vrai, mais qu’en réalité, c’est qu’il ne savait pas qui il était. Cela faisait 12 ans qu’il avait perdu la mémoire et il n’avait toujours pas réussi à se reconstruire, il ne savait pas comment faire.

Enfin, c’est ce qu’elle pensait, elle continuait à l’écouter doucement, il ne savait pas comment considérer les autres et le fait qu’il ne sache pas faire la différence entre ses sentiments et ceux qu’il voyait dans le passé ne l’aidait pas. Pour la distance et le froid dont-il faisait preuve à présent, Abi’ trouva cela triste mais décida qu’il ne valait mieux pas le trouver, elle arrivait toujours à sourire d’un air joyeux pour ne pas embêter les autres. Elle ne savait pas quoi faire, elle voulait l’encourager, mais elle lui était un peu inutile.

- Je suis désolé que tu ne sache pas qui tu étais avant. Mais cela ne change pas la personne que tu es, même sans savoir qui tu étais, tu es devenu une personne bien. T’as juste un peu de mal à te fier aux autres.

Elle lui sourit chaleureusement et lui caressa doucement la tête penchée par-dessus la table, remuant la queue gaiement ne laissant rien paraitre a par de la joie, il valait mieux le soutenir comme cela, elle en était convaincue.

- Tu as besoin de savoir qui tu étais pour savoir qui tu es. Tu ne t’approches pas des gens et tu n’exprimes rien et alors ? Tu es comme tu es et quoi qu’il arrive, je serais ta partenaire et te soutiendrais.

Elle lui sourit tendrement, elle était vraiment sincère, elle était même prête à l’aider, mais, elle avait peur que ce soit déplacer si elle lui disait qu’elle n’était pas contre le fait, de faire des recherches ou autres. Elle bougea sa main pour éviter que son pouvoir ne recommence et qu’il se sente mal, Abi’ lui sourit et continua de parler.

- Pour ce qui est des prétendants, depuis que je suis petite, on me répète que je me marierais avec l’un d’eux. Alors ne te fais pas de soucis, car, quoi qu’il arrive un jour, je serais bien obliger d’en choisir un. Mais tu resteras toujours mon partenaire, tu sais.
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Ven 18 Déc - 15:16

Lieu de travail ou de rencontre ?

E
n regardant ma partenaire, je la vie avec ce même sourire qu'avant que je reprenne mon air froid et détaché. J'étais un peu suspicieux par rapport à cela, mais je ne lui dis rien, attendant le bon moment pour utiliser mon pouvoir sur elle... de manière volontaire.

- Je suis désolée que tu ne saches pas qui tu étais avant. Mais cela ne change pas la personne que tu es, même sans savoir qui tu étais, tu es devenu une personne bien. T’as juste un peu de mal à te fier aux autres.

Je n'étais pas certain que ce soit le cas. Mais je voulais la croire, plus que quiconque. Elle voyait en moi une personne de bien... La question que je me posais était : sur quels critères se basait-elle pour dire ça? Il était vrai que je ne lui avais pas fait de mal et que je m'étais efforcé d'être gentil avec elle. Mais ce n'était même pas certain que c'était réellement ainsi que j'étais.
Toujours souriante, elle posa une main sur ma tête sans que mon pouvoir ne se déclenche. C'était agréable. Tant et si bien que cela me permit de me détendre et de réchauffer un peu mon expression. J'avais l'étrange sensation d'avoir déjà vécu une scène similaire. Mais je n'avais rien de précis, rien de concret, pouvant me le confirmer.

- Tu as besoin de savoir qui tu étais pour savoir qui tu es. Tu ne t’approches pas des gens et tu n’exprimes rien et alors ? Tu es comme tu es et quoi qu’il arrive, je serais ta partenaire et te soutiendrais.

Sa sincérité me toucha profondément. Malheureusement, je ne savais pas quoi faire suite à cela. Non pas que je ne le souhaitais pas, mais c'était comme si je n'avais pas appris ce qu'on pouvait faire dans ces moments-là. Quant à elle, elle retira sa main et continua :

- Pour ce qui est des prétendants, depuis que je suis petite, on me répète que je me marierais avec l’un d’eux. Alors ne te fais pas de soucis, car, quoi qu’il arrive un jour, je serais bien obliger d’en choisir un. Mais tu resteras toujours mon partenaire, tu sais.

Fronçant légèrement les sourcils sur ces mots, je fis une moue mécontente. Certes, elle resterait ma partenaire, mais ça ne me plaisait pas qu'elle épouse une personne qu'elle n'aimait pas et qu'elle s'y plie avec autant de facilité. Je savais que le moment d'utiliser mon pouvoir comme j'avais projeté de le faire était arrivé, mais, finalement, je ne le voulais pas. Ce n'était pas quelque chose à faire, surtout envers une personne importante. Alors, fermant mon ordinateur, je lui demandai :

- Et toi, que souhaites-tu réellement par rapport à cette histoire? Ne voudrais-tu pas vivre ta vie avec une personne qui t'aime réellement et que tu aimerais en retour? Ça fait un peu cliché... mais ne serait-ce pas normal que tu veuilles être libre? Libre de vivre avec la personne que tu souhaite.

Je devais l'avouer, je souhaitais qu'elle reste à mes côtés. Et je rêvais d'être riche, un noble, pour avoir la possibilité de devenir un "prétendant". Mais, d'un autre côté, je ne voulais pas savoir que j'avais une fortune cachée de peur de devenir mauvais. Je ne souhaitais pas devenir comme tous ces hommes qui lui tournaient autour.


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Sam 19 Déc - 12:47

Lieu de travail
sympathique
ou
de rencontre?


Abigaïl Talin | Sousuke Jirawa




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Quand elle eut fini de parler, la jeune femme remarqua que Sousuke fronçait un peu les sourcils, elle ne comprenait pas pourquoi, de plus il fit une moue mécontente. Il ferma son ordinateur, Abi’ ne comprenait pas pourquoi il avait l’air de pas être d’accord. Il prit doucement la parole, il demanda à Abigaïl ce qu’elle souhaitait par rapport à cette histoire. Il lui demandait si elle ne voulait pas vivre sa vie avec une personne qu’elle aimait réellement et qui l’aimerait en retour. Il dit que ça faisait un peu cliché, mais que ce serait normal qu’elle veuille être libre, libre de vivre avec la personne de son choix.

Si elle comprenait ce qu’il voulait lui dire, mais elle n’aimait personne et personne ne l’aimait non plus. Oui vivre avec quelqu’un qu’elle aurait choisi et qu’il aurait des sentiments réciproques l’un pour l’autre, cela aurait été vraiment bien presque comme un rêve. Mais est-ce que cela arrivera un jour, elle n’en était pas sur et savait que ça serait presque impossible. À moins, qu’elle ne finisse par aimer un de ses prétendants, alors dans ce cas-là, oui, elle aurait une partie de réaliser, car elle ne pourrait jamais être totalement sûre que l’un de ses prétendants l’aime vraiment pour elle.

- Oui vivre avec quelqu’un que j’aimerais et qui ferait de même serait vraiment bien. Mais j’ai aussi des responsabilités en tant qu’héritière de ma famille.

Elle lui sourit avec douceur, c’est vrai ce qu’elle disait, elle n’avait pas vraiment le choix, puis cela faisait longtemps qu’on lui répétait la même chose sans jamais savoir si c’est ce qu’elle voulait ou non, elle avait fini par abandonner l’idée de vivre la vie qu’elle aurait souhaitée.

- Mais toi, tu peux vivre cette vie-là, aimer et être aimé en retour, je te souhaite de trouver la personne qui t’est destiné. Je serais heureuse pour toi si tu la trouves, tu pourras peut-être vraiment ressentir des choses grâce à cette personne.

Elle lui souriant d’un air sincère et heureux, oui, elle serait vraiment heureuse s’il arrivait à trouver la personne dont elle parlait. Abi’ ne pouvait pas aider Sou’ elle, car elle n’était pas celle qui l’aiderait avec ses sentiments. Elle remuait toujours la queue d’un air gai, elle le regarda droit dans les yeux en souriant contente.
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Dim 20 Déc - 16:58

Lieu de travail ou de rencontre ?

P
endant un moment, elle sembla réfléchir à ce que je lui avais dit. Pourquoi avais-je un pincement au coeur quand elle disait qu'elle irait avec un de ses prétendants? Pourquoi avais-je si peur de la perdre, qu'elle parte loin de moi?

- Oui vivre avec quelqu’un que j’aimerais et qui ferait de même serait vraiment bien. Mais j’ai aussi des responsabilités en tant qu’héritière de ma famille.

Discrètement, je crispai mes mains. Comment des parents pouvaient condamner leur propre fille à une vie malheureuse? Comment pouvaient-ils l'obliger à se marier avec un homme qui ne l'aimerait pas pour elle? Et elle, comment pouvait-elle accepter cette situation sans broncher? Avait-elle été conditionnée à ce point?

- Mais toi, tu peux vivre cette vie-là, aimer et être aimé en retour, je te souhaite de trouver la personne qui t’est destiné. Je serais heureuse pour toi si tu la trouves, tu pourras peut-être vraiment ressentir des choses grâce à cette personne.

Le sourire sincèrement heureux me fit mal. Mais, parce que je ne voulais pas la blesser d'avantage, je n'insistai pas. Nous avions le temps, n'est-ce pas? J'avais le temps de comprendre pourquoi je voulais la voir autant heureuse, n'est-ce pas?
Lentement, je décrispai ma main tout en lui répondant :

- Fais comme tu le sens, Abigaïl. Rappelles-toi, en tous cas, que je serais toujours là pour toi si jamais tu as un problème. D'accord?

Sur ce, je rouvris mon ordinateur, tapai le mot de passe, et tombai sur mon travail en cours. Je n'avais pas envie de m'en occuper... J'avais plutôt une autre idée en tête. J'étais un pro de l'informatique et tout ce qui s'y rattachait : les recherches d'information, la création de sites internet, les créations de polémiques et bien d'autres encore! Petit à petit, une petite idée germais dans mon esprit. Ce n'était pas certain que cela plaise à ma partenaire, mais elle serait libre de choisir un de ses "concurrents" si cela l'amusait. Simplement, cette fois, ce serait son choix! Il y avait cependant un risque pour moi si jamais je faisais cela. J'allais donc attendre, y réfléchir sérieusement pendant un temps avant de la mettre à exécution.


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Dim 20 Déc - 22:14

Lieu de travail
sympathique
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Abigaïl Talin | Sousuke Jirawa




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Abi’ attendait de voir la réaction de son partenaire sur ce qu’elle avait dit, elle pensait le voir sourire, mais elle se trompait lourdement, elle le vit crispée les mains de plus en plus. Il décrispa ses mains, pris son ordinateur et l’ouvrit après avoir dit qu’elle faisait comme elle se sentait, elle devait se rappeler qu’il serait toujours là pour elle en cas de problème. Il allait sûrement se remettre à travailler et donc la jeune fille allait le déranger, elle se leva doucement et lui sourit d’un air joyeux comme elle le faisait quand elle accueillait les clients ou quand elle leur parlait.

- Si tu as besoin de quoi que ce soit, appelle-moi.

Elle s’éloigna de lui sa queue pendant dans le vide, se balançant doucement, elle allait rouvrir la boutique et quelques clients attendaient. Elle s’excusa auprès d’eux en souriant et les laissa s’installer puis elle s’occupa d’eux, elle ne faisait plus attention à Sousuke, apparemment, elle avait dit quelque chose qui ne l’avait pas mis de très bonnes humeurs. Pourtant, elle ne lui avait souhaité que du bonheur, elle ne comprenait pas vraiment pourquoi il avait eu l’air contrarier, enfin, c’est ce qu’elle pensait.

La jeune fille s’occupait des clients et de temps à autre regardait Sou’ du coin des yeux, elle soupira doucement et retourna derrière son comptoir pour commencer à nettoyer ce qui était sale. Elle s’occupa de servir les clients et accueillait les nouveaux qui ne cessaient de rentrer, elle n’irait pas voir Sou’ à moins qu’il ne l’appelle. Vu qu’il avait ouvert son portable, elle avait compris qu’il avait préféré clore la conversation et travailler, en tout cas, elle comprenait tout de même.

Après un long moment, il ne restait plus que Sou’ dans la boutique et la jeune femme alla s’asseoir derrière son comptoir pour grignoter un cookie qu’elle avait pris dans la vitrine. Elle but un verre de lait aussi, elle réfléchissait a ce qu’elle devrait faire après la fermeture, sûrement qu’elle devrait aller voir si tout, c’était bien passer avec ses prétendants. Elle soupira et ses oreilles se baissèrent doucement avant de retrouver de se redresser doucement.

Elle but son lait et fini son cookie puis lava son verre, doucement remuant doucement la queue, la laissant onduler dans l’air. Elle réfléchissait à ce qu’il s’était passé tout à l’heure avec son partenaire, bien sûr qu’elle l’appellerait ou quoi que ce soit si ça n’allait pas, mais elle ne pouvait pas désobéir à ses parents. Pour elle, c’était normal qu’elle fasse ce que sa famille attendent d’elle.


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Lun 21 Déc - 14:31

Lieu de travail ou de rencontre ?

C
omme lorsque j'étais arrivé, elle prit l'allure de la serveuse que j'avais rencontrée. Doucement, elle se leva, souriante d'un sourire poli et joyeux, et elle me dit :

- Si tu as besoin de quoi que ce soit, appelle-moi.

Je lui répondis que je le ferais et elle partit rouvrir sa boutique. Plusieurs clients attendaient depuis un moment. Elle les servit et fit marcher son salon de thé comme si elle avait toujours fait cela de sa vie. Mon regard se porta sur mon écran et je me plongeai dans le travail pour digérer tout ce qui avait été dit. Je devais digérer le fait qu'elle était têtue et que ses parents l'avaient conditionnée au point qu'elle n'était plus dérangée par son manque de liberté. Un mariage arrangé... C'était quelque chose que je ne pouvais pas accepter. Jamais.

Les heures passèrent sans que je ne m'en rende compte. J'avais presque fini le site web qui m'avait été demandé, il ne me restait plus que quelques fignolages. J'en profitai pour jeter un oeil à ma partenaire. Elle était assise derrière le comptoir et semblait s'accorder une petite pause. Mis à part moi, il ne restait personne. Avec tout le brouhaha qu'il y avait eu, j'avais compris que sa publicité avait bien fonctionné. J'espérais que les affaires seraient bonnes. Meilleures que son avenir amoureux, ce qui ne serait certainement pas trop compliqué d'après ce que j'avais pu constater.

Doucement, je fermai mon ordinateur et rangeai mes affaires. Puis, je me dirigeai vers elle. Il restait un peu de temps avant le fermeture, mais je devais rentrer pour régler des détails et envoyer mon travail au fleuriste. Je me promis de revenir le lendemain et les jours suivants. J'aimais beaucoup l'ambiance qui régnait là et, même si je ne travaillais pas, c'était toujours mieux que rester chez moi. Je me promis aussi de chercher des éléments sur mon passé. Je ne voulais pas rester comme ça, pas après l'avoir rencontrée.
Devant elle, je lui fit un petit sourire discret et je lui annonçai :

- Je dois rentrer aujourd'hui, mais si tu veux toujours de moi dans ta boutique, je repasserai demain. Combien est-ce que je te dois?

J'avais envie de l'appeler Abi', mais comme ses prétendants la nommaient ainsi, je ne savais pas si elle apprécierait. Je préférais donc attendre qu'elle me le propose. Je l'aimais bien, même plus. Bien plus que cela.


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Lun 21 Déc - 15:51

Lieu de travail
sympathique
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Abigaïl Talin | Sousuke Jirawa




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Abi’ finissait son cookie et n’avait pas vu que le jeune homme, c’était lever, il se tenait devant le comptoir, elle se leva et le regarda dans les yeux. Elle vit un sourire discret et il commença a parler, il dit qu’il devait rentrer, mais si elle voulait toujours de lui dans la boutique, il reviendrait demain, il demanda aussi combien il lui devait. Elle le regarda et elle n’avait pas envie de sourire, mais elle le fit tout de même comme si c’était n’importe qu’elle client qui se trouvait devant elle. Elle sourit, mais sa queue restait dans son dos ondulant dans l’air.

- Tu ne me dois rien du tout, de plus demain, je serais fermé. Mais tu ne me déranges pas, j’accepte tous les clients.

Elle lui sourit doucement pris une lavette et alla nettoyer la table où il était assis et pris l’assiette ainsi que la tasse de café et revient près du comptoir. Elle le regarda et commença à nettoyer la vaisselle sale et parla doucement. Elle ne le regardait pas et se concentrait sur la vaisselle, elle ne savait pas quoi faire vu qu’elle avait paru l’ennuyer.

- Passe une bonne soirée.

Une fois qu’elle eut terminé, elle prit le balai et commença à balayer la salle, elle ne lui avait pas accordé un regard et nettoyait son magasin. Elle balayait doucement tout en se rappelant ce qui s’était passé aujourd’hui, beaucoup de choses étaient arrivées, elle avait rencontré son partenaire et ses prétendants s’installaient chez elle. D’ailleurs, il allait falloir qu’elle rentre pour mettre un peu d’ordre la dedans. Sans vraiment se rendre compte de quand il était parti Sou’ n’était plus, la quand elle eut fini de nettoyer la salle, elle fit ce qu’il restait à faire et alla se changer derrière.

Elle sortit de la boutique, la ferma à clé et rentra chez elle. La froideur de Sou’ l’avait un peu blessé, mais elle ne l’avouerait pas, cela risquait de le blesser et elle ne souhaitait pas. Marchant pendant un long moment dans la nuit, elle finit par arrivée chez elle, les 5 prétendants avaient déjà pris leurs aises et c’était installer dans diverse chambre que comptait la demeure d’Abi’. Celle-ci leur imposa des règles, mais surtout une, ils avaient l’interdiction d’entrée dans sa chambre quel qu’en soit les raisons. Elle ne voulait surtout pas que l’un d’eux entre dans sa chambre, c’était encore chez elle et c’était la seule pièce ou désormais, elle pourrait rester seule et tranquille.
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